J’hésitai encore quand je sortis des toilettes. Line me prit par la main, et m’entraîna vers le lit king-size où tout le monde s’était installé, et m’embrassa. Je lui rendis son baiser et glissai ma langue contre sa langue si douce. Ma main caressait son cou, pendant que les siennes parcouraient mon corps. Se détachant, elle me dit : « Veux-tu aller plus loin ? Es-tu sûre que ça va aller ? ». Réfléchissant rapidement, je me rappelais que je ne pourrais pas réunir toutes ces meilleures conditions de si tôt, et lâchai un : « Oui » dans une quinte de toux. Cela la fit rire, et elle descendit la fermeture éclair de mon gilet.
Elle me déshabilla rapidement et je m’excusai lorsqu’elle retira ma petite culotte blanche. « Comme quoi, c’était vraiment pas prémédité ! » dis-je en rougissant. Elle rit de bon cœur, et me fit monter sur le lit.
A genoux sur le lit, face à face, nous reprîmes notre langoureux baiser pendant que nos mains exploraient nos corps. Curieuse sensation que de découvrir un corps si semblable au mien. Sa peau était douce, ses lèvres aussi. J’embrassai ensuite chaque parcelle de son anatomie et descendai pour rencontrer son intimité.
En chemin, je découvris un magnifique tatouage : des branches de cerisiers en fleurs ornaient son bas ventre, délicat subterfuge pour masquer une cicatrice…
Je me retrouvai bientôt face à sa petite chatte, douce et lisse, elle aussi très similaire à la mienne. Je l’effleurais doucement pour commencer, et j’entendis ses premiers soupirs. Autour de nous, des gémissements plus épanouis nous révélaient que les autres avaient pris de l’avance mais nous étions toutes les deux dans notre bulle.
Mes caresses sur ses lèvres se firent plus appuyées, mon majeur glissant le long de sa fente humide. Elle gémit et rejeta sa tête en arrière, se laissant totalement aller au plaisir qui l’envahissait. Doucement j’écartai ses cuisses. Je déposai de petits baisers sur son Mont de Vénus, et descendis très lentement vers sa chatte gonflée et ruisselante de désir. J’embrassais ses lèvres inférieures, faisant jouer ma langue sur leur pourtour et alternant en grandes lampées. Par moments, je suçotais son clito, prenant soin de ne pas le décalotter, puis revenais à mes grandes coups de langue le long de sa fente, parfois en l’y glissant le plus profondément possible.
S’abandonnant sans réserve à son plaisir, ses gémissements eurent tôt fait d’attirer l’attention sur nous. Giacomo, qui m’attendait alors avec Leo et Maxime dans la pièce attenante, vint pour me chercher et quelle ne fut pas sa surprise de me trouver en si charmante compagnie, et surtout dans quelle position. A quatre pattes sur le lit, ma tête entre les cuisses ouvertes de Line ! Je pense qu’il a dû avoir une demi-molle rien qu’en entrant dans la pièce…
Les autres couples s’étaient mélangés et étaient à des stades bien plus avancés que le nôtre. Dans l’obscurité, je crus distinguer Tom s’occupant de Caroline dans une chevauchée fantastique, mon intuition se révélant alors juste : un vrai volcan. La tenant par les hanches, il la prenait en levrette avec force et vigueur, la miss hurlant son bonheur à chaque coup de rein.
Dans un autre coin du lit, Eva était allongée sur le dos, cuisses ouvertes entre lesquelles Marvin la pilonnait. Le dos cambré, elle profitait pleinement de ses assauts virils.
Line tendit la main à Giacomo, l’invitant à se joindre à nous. Il s’approcha. D’un regard malicieux et bienveillant, je l’enjoignis à embrasser Line. Je contemplai mon homme dans les bras d’une autre femme, fermant les yeux et goûtant cette nouvelle sensation d’un premier baiser.
Maxime et Leo nous rejoignirent également. Ma croupe cambrée et offerte fut rapidement l’objet de leurs préoccupations. Alors que Leo caressait mon dos en admirant la scène, Maxime s’agenouilla, écarta doucement mes cuisses et vint poser sa bouche contre mes lèvres, très délicatement. J’appréciais cette prévenance. Sa langue, légère au début, me lécha de plus en plus voluptueusement, me faisant rapidement passer à un état liquide…
De mon côté, j’alternais entre la chatte de Line, les sexes de Giacomo et Leo, branlant l’un pendant que j’en léchais un ou une autre. J’avais sous mes yeux et ma bouche, deux sexes fièrement dressés et une chatte plus qu’humide… pendant que la mienne s’était liquéfiée sous l’œuvre de Maxime.
Je me relevai alors pour allonger Line. M’approchant de son visage, je l’embrassai à mon tour, pendant que ma main parcourait son corps, descendant lentement mais sûrement pour écarter ses cuisses et l’offrir à mon homme. De ses dents, il déchira une capote, pinça le réservoir et la posa sur son gland. Je la déroulai sur sa hampe, puis le branlai un petit peu. Mes yeux dans les siens, je lui souriais, maîtresse éphémère de ce qui allait se jouer.
Je léchai à nouveau la chatte de Line, qui gémissait sous mes coups de langue, et branlait en même temps Giacomo. Je me redressai pour le guider entre les cuisses de notre hôtesse. Il déposa un peu de salive sur son gland qu’il frotta à l’entrée de sa fente gonflée et humide. Il la pénétra doucement, avançant centimètre par centimètre à l’intérieur de ce nouveau vagin, butant lorsque ses couilles rencontrèrent ses petites fesses.
Je sentis bientôt des mains aggriper mes fesses, et une autre posée sur mon dos, m’invitant gentiment mais fermement à me remettre en levrette pour sucer une bite. Maxime avait déjà enfilé un préservatif, et s’apprêtait à me posséder pendant que Leo voulait à nouveau abuser de ma bouche.