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Turbulences à l’atterrissage

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Turbulences à l’atterrissage
Turbulences à l’atterrissage

Avant de conter cette aventure, je dois situer le contexte : pour des raisons familiales, nous avons dû quitter Paris et nous installer en province. Quelques mois après le décès de ma Maman pendant lesquels je fis un déni de deuil, je sombrais dans le chagrin. Ma meilleure amie qui habitait à l’étranger me proposa de la rejoindre. J’avais peut-être besoin de partir loin pour me retrouver.

 

Pendant mon séjour, je reçus des messages de Damien, un coquin que nous avions rencontré l’année dernière. Champion de moto cross, il participe régulièrement à des courses. De passage près de chez nous, il nous indiquait sa présence. Je lui répondis que j’étais en vacances à l’étranger et le taquinais en lui disant qu’il ne donnait de nouvelles que lorsqu’il passait dans le coin. C’est toujours délicat de blaguer par écrit, on ne sait jamais comment l’autre peut réagir.

 

Bref, je pense qu’il ne m’en tint pas rigueur puisque quelques jours avant mon retour, je pris quelques renseignements auprès de lui, au sujet des espaces lounges de l’aéroport. En effet, entre mon atterrissage et ma navette, je devais attendre 5h. Après mes 9h de vol et 2h d’escale, je savais que j’aurais envie d’une bonne douche et d’un endroit confortable où faire une petite sieste.

 

Travaillant en tant qu’agent d’escale à l’aéroport, il était la personne idoine à qui je pouvais m’adresser. Quelques heures avant mon vol, il me demanda mon numéro de vol et mon terminal, et me promit d’appeler l’aéroport pour m’avoir un accès à l’espace lounge. Plaisantant à son tour, il me proposa de passer la matinée plutôt dans son appart, bien plus confortable.

 

Le remerciant de sa proposition que je savais intéressée, je déclinais en lui indiquant que je ne serais certainement pas de bonne compagnie après la fatigue du voyage. Je l’informais également de l’objet de mon escapade : le deuil de ma maman, ma meilleure amie qui m’avait invitée à la rejoindre pour me changer les idées. Je préférais être honnête et lui expliquer le contexte. Puis je montai dans l’avion.

 

Après mes 9h de vol, je rallumai mon téléphone. Il m’avait laissé plusieurs messages : l’espace lounge ne se trouvait pas dans mon terminal : il fallait prendre une navette pour s’y rendre. De plus, il n’était accessible qu’aux personnes possédant des cartes d’embarquement donc pas pour des voyageurs en fin de parcours comme moi. Bref selon lui le plus simple était qu’il passe me chercher. J’objectais une dernière fois qu’il devrait effectuer 2 allers-retours pour que je puisse revenir et prendre ma navette. Ca ne lui posait aucun problème : il habitait à seulement 20 minutes de l’aéroport. Rêvant d’une bonne douche chaude, j’acceptai enfin sa proposition. Je n’avais pas vraiment la tête à batifoler mais après tout pourquoi pas, ça me remettrait peut-être le pied à l’étrier. Et puis, il fallait continuer à vivre.

 

Par chance, il habitait effectivement tout près, et le temps de récupérer ma valise, il m’attendait déjà. J’étais ravie de le retrouver malgré ma grande fatigue : je n’avais pas réussi à dormir durant mon vol. Cela faisait près d’un an que je ne l’avais pas revu mais il n’avait pas changé : toujours aussi mignon, un sourire charmeur et sûr de lui, un physique très sportif.

 

Comme moi, il conduisait désormais une Mini Cooper, sauf que la sienne était un peu plus sportive que la mienne. Nous nous retrouvâmes rapidement à traverser des paysages bucoliques et champêtres pour rejoindre son appart.

 

Attentionné, il me demanda mes préférences en viennoiseries et s’arrêta à une boulangerie pour prendre croissants et pains au chocolat.

 

Arrivés chez lui, il me fit rapidement le tour du propriétaire. Un véritable appartement de célibataire, sportif de haut niveau de surcroît : autant dire que tout était millimétré. Il s’excusa du « désordre », ce qui me fit sourire. Nous n’en avons visiblement pas la même définition.

 

Il me demanda ce que je souhaitais faire d’abord : petit-déjeuner ou une sieste. Je lui répondis que je rêvais d’une bonne douche chaude. Il me donna une serviette et je filai dans sa salle de bains.

 

L’eau chaude coulait sur mon corps et décontractait doucement mes muscles engourdis par l’inconfort de l’avion. Elle me revigorait également peu à peu et je ressortis de la salle de bain, enroulée dans ma serviette, les batteries un peu rechargées.

 

Il venait d’entrer dans sa chambre qui faisait face à la salle de bain et se déshabilla. Son corps était toujours aussi fin et athlétique, avec de jolis abdos bien dessinés.

 

Il avait un lit rond ! C’était la première fois que j’en voyais un en vrai.

 

« C’est confortable ?

  • - Oui mais c’est pas pratique pour trouver des draps. »

 

N’ayant pas beaucoup dormi non plus, il s’apprêtait à se recoucher. Je le rejoignis alors, me débarrassai rapidement de ma serviette pour me glisser nue sous sa couette.

 

Comme deux enfants qui se cachaient sous des draps, nous riions de bon cœur. Puis les choses devinrent rapidement plus adultes. Je me rapprochais de lui pour me blottir tout contre lui. Je cherchais son visage et sa bouche trouva rapidement la mienne. Un baiser tout doux pour commencer, pour un réveil des sens. Des caresses aussi très douces de part et d’autre. Un moment tout en légèreté, plein de douceur. Le temps était suspendu.

 

Petit à petit, les baisers se firent plus langoureux. Les caresses devinrent plus appuyées et plus intimes. Une de ses mains flattait mes seins et ses doigts titillaient mes tétons pendant que l’autre main attrapait l’une de mes fesses pour relever ma cuisse sur sa hanche.

 

Nos rythmes cardiaques s’accélérèrent, nos souffles se firent plus courts. Ma main descendit entre ses cuisses et y trouva une belle érection. Je fis glisser doucement ma main sur la peau de son sexe et décallotais complètement son gland. Ce petit mouvement le fit durcir davantage et je l’entendis soupirer de plaisir. Je le masturbais lentement mais fermement, le décallotant encore complètement par moments.

 

De son côté, sa main qui me caressait les fesses passa gentiment de l’autre côté pour se faufiler entre mes cuisses. Elle y trouva ma petite chatte douce et épilée (merci le laser). Il l’effleura d’abord du plat de la main pour l’apprivoiser. Petit à petit, il appuyait le contact. En réponse, mon intimité se faisait plus chaude et plus humide. Son majeur se faufila entre mes lèvres et fit des allers-retours à leur lisière. J’adore cette façon de faire et ma liquéfaction en était la preuve.

 

Bientôt, son doigt s’insinua dans ma vulve, jusqu’à « la garde », sa main butant à l’entrée de mon vagin. Il me tenait littéralement à bout de bras, enfin de doigt. Il fit quelques va-et-vient avec un seul doigt d’abord, puis avec deux, ma chatte s’étant dilatée sous mon excitation.

 

Nous nous embrassions toujours, plus avides que jamais, pendant que nos mains s’affairaient entre nos cuisses. Nos respirations étaient de plus en plus haletantes. Nous avions soif l’un de l’autre, notre désir brûlait entre nos deux corps.

 

Dans un souffle, il me proposa un 69, ce que j’acceptai immédiatement. Je n’avais pas envie de rompre cet élan au profit de l’un ou l’autre, mais de le poursuivre à deux. Il vint au-dessus de moi, tête-bêche.

 

Je pris son sexe directement dans ma bouche sans trop de préliminaire et le fis aller et venir le plus loin que je le pouvais dans ma gorge. Je pouvais sentir au gonflement de son gland qu’il appréciait mon jeu de langue. De son côté, il plongea sa tête entre mes cuisses, et me lécha goulûment.

 

Trop excités tous les deux, et comme pris d’un sentiment d’urgence, nous ne fîmes pas durer ces caresses bucales.

 

« Prends-moi !

- J’ai trop envie de toi… »

 

Il se leva et fonça dans la salle de bain chercher des capotes. A son retour, j’étais déjà à quatre pattes au bord du lit, l’attendant cambrée, telle une femelle en rut. Il déroula le latex sur son sexe et le lubrifia d’un peu de salive. D’une main, il me tenait par la hanche et de l’autre, il dirigeait sa verge entre mes lèvres. Il prit son temps pour me pénétrer. J’aime toujours autant ce moment, et j’adore quand on le fait durer.

 

Il s’enfonça millimètre par millimètre, lentement mais sûrement, jusqu’à la garde. Un sentiment de plénitude nous submergea et nous l’exprimâmes dans un soupir de satisfaction. Il se retira tout aussi lentement, presqu’entièrement, avant de m’envahir à nouveau, un peu plus fermement cette fois. Je me cambrais chaque fois davantage pour lui offrir la plus grande amplitude possible. Ses mains maintenaient mes hanches au plus près de son bassin. Ses aller-retours se firent plus rapides, plus fermes, cherchant à m’atteindre le plus profondément possible.

 

Dans la fraîcheur du matin, nous étions deux corps en fusion. Nous goûtions notre désir simple et immédiat, n’écoutant que les sensations de nos peaux, de nos mains et de nos sexes. Les gémissements de l’un propulsaient le plaisir de l’autre. La rigidité de son sexe. L’humidité croissante de mon vagin.

 

Ma croupe tendue à l’extrême semblait l’inviter à visiter mes hauteurs. Il lubrifia son pouce avec beaucoup de salive et l’insinua entre mes fesses, contre mon anus. Avec des gestes circulaires et très doux, il massa cette entrée pour beaucoup interdite. Je poussai pour ouvrir le passage. Mon excitation était telle que son doigt glissa à l’intérieur sans difficulté. Il fit quelques va-et-vient avec son pouce alors qu’il me prenait toujours en levrette. J’adorais cette sensation d’être remplie des deux côtés. J’en gémissais de bonheur. Il élargissait peu à peu ses mouvements circulaires en moi pour me détendre un peu plus.

 

Il retira son sexe de mon vagin, et vint le positionner sur ma rondelle. Je retins mon souffle de sentir son gland entre mes fesses mais me forçais à me détendre. Je respirai à nouveau, et poussai. Gentleman, il ne bougea pas. Il attendit que je m’empalle de moi-même sur sa verge. Je poussai encore et sentis son gland appuyer de plus en plus fort sur mon anus. Une douleur légère mais excitante à la fois. Je reculais tout doucement, toujours en poussant, et son sexe s’insinua en moi, dépassant mon sphincter étroit. Je m’enfonçais moi-même son membre entièrement, jusqu’à la garde et vins buter mes fesses contre ses couilles.

 

Un râle de satisfaction nous échappa à tous deux. Il m’aggripa à nouveau par les hanches, et commença à bouger tout doucement. Il recula à peine au début, pour m’habituer à son sexe dans mon conduit, et augmenta progressivement l’amplitude de ses allers-retours au son de mes gémissements.

 

Petit à petit, ses coups de reins me firent remonter dans le lit. Il finit par m’allonger totalement sur le ventre, et continua à me fourrer dans cette position. J’étais totalement à sa merci, il pouvait me faire absolument tout ce qu’il voulait.

 

Il me retourna sur le dos, et me pénétra à nouveau, toujours par l’autre passage. Il avait été tellement travaillé qu’il était resté grand ouvert et son sexe s’y faufila sans aucune résistance.

 

Je le regardais droit dans les yeux et lisais son plaisir à me posséder.

 

J’étais tellement excitée que des paroles m’échappaient. Je ne suis pas une grande fan de mots crus, mais quand mon corps entre en ébullition, je perds le contrôle.

 

« Tu m’excites.

- Toi aussi. Ton ptit cul là…

- Oh oui, je te sens bien, baise-moi, défonce-moi le cul. »

 

Je crois que mes mots eurent raison de lui : il se retira, ôta sa capote et jouit en longues giclées sur mon Mont de Vénus et sur mon ventre, dans un long râle d’homme des cavernes. Un peu sonné par l’orgasme, il mit quelques secondes à reprendre ses esprits. Il se dirigea vers la salle de bain et me rapporta des mouchoirs. Il essuya délicatement ses traces de sperme, et m’embrassa tendrement.

 

Il s’allongea près de moi, et tout en me caressant, me demanda si je voulais rester au lit, ou si je souhaitais prendre le petit-déjeuner. J’avouais que ces petits exercices matinaux m’avaient ouvert l’appétit.

 

Ca m’étonne toujours que pour les hommes, l’acte sexuel se termine lorsqu’ils ont éjaculé. Je sais que je suis une « peine-à-jouir », et j’avoue qu’à ce moment-là, ça m’arrangeait qu’il ne s’occupe pas de mon nirvana, mais quand même, question de principe. Il faut vraiment que je trouve le moyen de jouir quelque soit mon partenaire.

 

Après une douche rapide, nous descendîmes donc dans sa pièce principale, et il m’installa comme une princesse sur son canapé.

 

Thé ou café ? Ma préférence va pour le thé, et ça tombait bien, lui aussi. Rares sont les hommes qui savent l’apprécier, j’en connais tant qui pensent que ça n’est que de l’eau parfumée. Il me présenta différents thés de la marque Kusmi que j’adore. Je ne me rappelle plus exactement celui que je pris, mais il en choisit un autre pour que je puisse goûter dans sa tasse.

 

Il me prépara également un petit jus avec son extracteur : carottes, citron, oranges et pommes. Je savourais ses petites attentions et lui souris. Il était évident que je n’aurais pas été aussi bien chouchoutée à l’aéroport et le lui fis remarquer.

 

Nous discutâmes de tout et de rien, nous questionnant respectivement sur nos dernières conquêtes. Je m’étonnais qu’il en ait fait si peu depuis notre dernière rencontre, et surtout qu’il n’ait pas de régulières dans son périmètre. Il était lui-même surpris de mon étonnement. Je lui dis simplement qu’il était joli garçon et que les filles devaient se bousculer, ne serait-ce qu’à son travail, mais il me répondit par la négative. Déjà il ne voulait pas mélanger travail et plaisir, et ensuite il trouvait que les contacts étaient devenus beaucoup moins faciles sur les sites coquins. Les nanas qu’il rencontrait n’avaient pas toujours le bon état d’esprit. Effectivement, mon homme et moi avions fait le même constat de notre côté, mais pour les hommes. Le monde libertin était en train de changer, et de plus en plus de curieux y venaient, sans toujours chercher à comprendre et adopter la philosophie qui allait avec.

 

Le temps s’écoula, et bientôt l’heure de me raccompagner à l’aéroport se rapprocha. Je le sentis un peu décontenancé de devoir déjà mettre fin à notre petite parenthèse improvisée. Joueuse et espiègle, je lui dis dans un sourire :

 

« Il te reste 15 minutes… »

 

Il ne se fit pas prier. Remonta illico dans sa chambre chercher les capotes restées sur le lit et redescendit aussi sec. Je l’attendis nue à son retour. Il sourit à la vue de mon « accueil » et se déshabilla prestement.

 

Je le poussai sur le canapé pour qu’il s’asseye et vins entre ses cuisses. Plantant mon regard le plus coquin dans le sien, je descendis jusqu’à son sexe et l’engloutit au plus profond de ma gorge. Il ne put retenir un gémissement de plaisir, et je sentis son sexe durcir dans ma bouche. J’aspirais et léchais sa verge en alternance. Je jouais de ma langue autour de son gland, titillant son frein, le reprenant entièrement en bouche.

 

Je sentais qu’il voulait faire durer ce plaisir mais il avait conscience que le temps pressait. Il se releva et m’installa en levrette sur le sofa, les avant-bras sur le dossier. Nous nous vîmes alors dans le miroir installé derrière le canapé. Il déchira un emballage de préservatif et déroula la fine couche de latex sur son sexe. Il lubrifia copieusement son gland ainsi vêtu et mes lèvres, et me pénétra d’une seule poussée. Sa verge m’avait investie de toute sa longueur et venait buter au fond de mon vagin.

 

L’urgence du moment ajouta à l’excitation de nos ébats. Il me prit plus violemment et plus sauvagement que jamais. Son sexe durci et gonflé à l’extrême me possédait. Voir nos corps dans le reflet du miroir décupla également notre plaisir.

 

Je cambrais davantage. Ses mains sur mes hanches. Ses jolis abdos dessinés. Son bassin qui venait cogner contre mes fesses. Le plaisir sur son visage. Le rythme effrené. La cadence qui s’accélère. Le retrait. La violence de l’orgasme. Le râle libérateur. Les giclées sur mon visage.

 

Il repris son souffle. Ses jambes étaient coupées. Il me tendit des mouchoirs et dut s’asseoir. Je m’essuyai rapidement. Il m’embrassa et me remercia de l’avoir provoqué.

 

Je rassemblai mes affaires et il me reconduisit à l’aéroport. Ma navette était à l’heure et il me raccompagna jusqu’à elle. Nous nous quittâmes dans un sourire, en nous promettant de nous donner des nouvelles plus régulièrement.

 

Sur la route du retour, je somnolais, rêvant de cette matinée pleine d’imprévus.

 

Mon homme m’accueillit, heureux de me retrouver après ma longue absence. Je lui contais mes aventures matinales. Surpris et fier à la fois, il me dit : « Tu n’en finiras jamais de m’étonner. »

 

Autant dire que nos retrouvailles furent torrides…

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