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Comme un révélateur...

Certes l’expérience précédente n’était pas heureuse mais il m’est arrivé de faire “switcher” un autre ami, Ralph, bien avant Marc.

 

Maintenant que j’y repense, il s’était aussi éloigné pendant quelques temps avant de revenir vers nous (mais pas aussi longtemps), après de grands questionnements intérieurs.

 

Mais revenons à nos moutons ! Donc à cette époque, mon mari n’était pas encore parti en mission, c’était il y a plus de 5 ans.

 

Mon mari a 10 ans de plus que moi, mais Ralph est un garçon de mon âge. Nous l’avons rencontré à une soirée d’amis communs (non coquins je précise) et nous sommes vite devenus amis. Il passait alors régulièrement chez nous prendre l’apéro ou refaire le monde jusqu’au bout de la nuit.

 

Un soir, alors qu’il était vraiment tard et qu’il avait un peu bu, il n’était pas question de le laisser repartir en voiture, même s’il habitait dans la banlieue proche.

 

Le pauvre était tout gêné de nous déranger ainsi. A l’époque, nous vivions dans un grand appartement type loft, et la chambre à coucher n’était pas délimitée par une cloison mais par une simple bibliothèque. Et comme nous dormons nus, nous l’avons vite vu passer au rouge pivoine quand nous nous sommes déshabillés !

 

D’un regard malicieux et à la fois bienveillant, mon mari me fit comprendre que je pouvais jouer avec Ralph si je m’en sentais d’humeur. Je n’avais pas envisagé cette possibilité, il était là si souvent, je ne l’avais jamais imaginé comme un amant potentiel. Je réfléchis un instant et l’observai à la dérobée. C’est vrai que vu sous ce nouvel angle, il avait de quoi me faire craquer : athlétique, brun aux beaux yeux bleus derrière ses lunettes et un sourire charmeur.

 

Un grand sourire s’étira rapidement jusqu’à mes oreilles.

 

Il s’apprêtait à dormir sur le canapé-lit lorsque je vins vers lui, l’attrapai par la main et lui soufflai : “Viens avec nous…” Il me suivit décontenancé, ne sachant si c’était du lard ou du cochon… enfin de la cochonne.

 

Tous les trois dans le lit, moi au milieu, je lui dis : “Nous ne te l’avons pas encore dit, mais nous sommes libertins… Et si tu es d’accord, nous aimerions jouer avec toi. Bien sûr, tu es libre de refuser, on ne te mettra pas à la porte pour autant.”

 

Mon mari, en petite cuillère derrière moi, caressait ma peau… mes seins… mes hanches… Ralph nous regardait comme s’il avait basculé dans une autre dimension. Je pris délicatement sa main et la posai sur mon sein : “Caresse-moi.”

 

Mes tétons étaient déjà dressés, mais je les sentais se durcir davantage sous ces nouvelles mains. Il me caressait doucement, comme s’il n’en croyait toujours pas ses yeux : “Comme tu es belle… tu as la peau si douce…” Petit à petit, il se détendit et se sentit en confiance.

 

Je me rapprochai alors de lui pour l’embrasser. Mon mari lui laissa un peu d’espace, comprenant le trouble dans lequel Ralph était, il lui redonna un semblant de normalité en restant momentanément en retrait.

 

Ralph ferma les yeux et m’embrassait en retour. Je vins tout contre lui et ses mains effleuraient mon corps. Il était doux et délicat. Une délicieuse chaleur commençait à se diffuser depuis mon bas-ventre. Ce moment était comme suspendu dans le temps. Mes doigts exploraient également son corps à travers ses vêtements, et l’envie de toucher sa peau les fit vite voler en dehors du lit. Ils laissèrent alors place à une musculature sèche.

 

Désormais nus l’un contre l’autre, nous nous caressions toujours, et le désir montait crescendo entre nos deux corps. Mes mains descendirent progressivement vers son sexe dressé. D’une main, je fis glisser sa peau jusqu’à la garde, ce qui eut pour effet de le tendre davantage. Je commençais à le branler doucement…

 

De son côté, ses caresses avaient chauffé mes sens, et lubrifié mon appétit. Sa main glissait lentement vers mon mont de Vénus… entre mes cuisses… entre mes lèvres indécentes de désir. Il introduisit un doigt en moi, petit à petit, et ne rencontra aucune résistance, au contraire, mon excitation le faisait glisser facilement. J’en soupirais de plaisir. Il ressortit un peu pour mieux revenir, appuyant chaque fois un peu plus la pression de ses caresses.

 

Nous nous branlions mutuellement, et plus il m’excitait, plus mes respirations étaient saccadées, et ma main rapide autour de sa bite.

 

N’y tenant plus, je lui dis : “J’ai envie de toi maintenant… Prends-moi…”

 

Mon mari lui tendit une capote qu’il enfila pendant que je m’allongeai sur le dos, écartant les cuisses pour lui offrir mon intimité. Attentionné, il me lécha la fente avec gourmandise. Se redressant, la bite à la main, il vint sur moi, et caressa mes lèvres avec son gland. Il agaça ainsi mon clito pendant un temps qui me parut infini, surveillant mes soupirs, jusqu’à ce que je craque et que je vienne à sa rencontre pour le happer complètement.

 

Il poussa son gland entre mes lèvres et s’enfonça tout doucement à l’intérieur de ma chatte, chaude et humide, jusqu’à la garde. Il marqua alors un temps d’arrêt comme pour reprendre son souffle après un effort. Il se retira, toujours très doucement, presque entièrement pour mieux revenir au fond de mes entrailles. Malgré son physique relativement sec, il était bien monté (je dirais 17-18cm) et avait un bon diamètre une fois en érection. Bref, je le sentais bien me remplir et j’en frémissais de plaisir !

Très lents au départ, ses va-et-vient se faisaient de plus en plus vifs, l’excitation allant crescendo. Nos souffles étaient de plus en plus courts, je m’aggripai à ses fesses pour guider son rythme et la profondeur de ses pénétrations. C’était si bon, nous basculions dans notre état le plus primitif.

 

Il finit par jouir sans un bruit, s’arrêtant brusquement dans cet élan si torride. Je n’ai pas compris tout de suite, mais en le voyant se retirer, la capote pleine de sperme, je souris. C’est assez perturbant pour moi les hommes qui jouissent en silence, moi qui suis tellement habituée à mon mari qui brâme comme un cerf, mais bon, chacun jouit comme il veut !

 

Il s’excusa de ne pas m’avoir fait jouir, et voulut se faire pardonner. Il descendit alors entre mes cuisses et commença à me lécher. De mon côté, j’avais envie de reprendre là où il s’était arrêté si brusquement alors je me mis à sucer mon homme pour le rendre opérationnel, ce qui arriva rapidement.

 

Je repoussai alors doucement la tête de Ralph pour l’inviter à arrêter et pour venir m’empaler sur mon mari. Je le décallotai complèment et guidai son gland vers mon intimité pour l’engloutir totalement. Je le chevauchais en amazone pendant qu’il me caressait et me suçait les seins. Tout en nous observant, Ralph me pelotait les fesses.

Je finis par jouir et mon mari suivit de près.

 

Après ce premier jet (au sens littéral du terme), nous nous sommes endormis tous les trois dans le même lit.

Mais la nuit fut entrecoupée de plusieurs réveils agités… En effet, à deux reprises, je fus réveillée par ses caresses, il n’avait visiblement pas encore eu son compte et voulait remettre ça. Excitée par tant de fougue, je répondis à ses sollicitations. Mais après trois sets éreintants, je lui fis comprendre que je déclarai forfait pour la suite.

 

Pendant quelques mois, nous n’avons plus eu beaucoup de nouvelles, il ne passait plus autant nous voir. “Le nouveau boulot”, disait-il.

 

Bien plus tard, il nous avouera que cette expérience l’avait bouleversé, qu’il s’était posé énormément de questions, qu’il avait adoré cette philosophie, les sensations qu’il avait ressenties, mais qu’il doutait. Tellement qu’il s’était même confié à ses parents. Oui, il a la chance d’avoir des parents très ouverts et très intelligents. D’ailleurs, ils lui ont répondu : “Nous aussi nous avons essayé plus jeunes, et ton père a beaucoup aimé !”

Je crois que ça l’a beaucoup aidé à se sentir moins seul face à ses tourments.

 

Ce qu’il en ressort, c’est que cette expérience l’a finalement révélé à lui-même. Lui qui auparavant était plutôt fleur bleue, conventionnel, et pensait avoir besoin d’être amoureux pour faire l’amour avec quelqu’un, s’est découvert aimer le sexe, l’activité sexuelle, tout simplement.

 

D’ailleurs, nous avons souvent réitéré l’expérience depuis, et c’est devenu l’un de nos compagnons de jeux réguliers…

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