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Avec une fille (1ère partie)

#lesbiennes #histoire #shooting
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Sur un réseau social libertin, Giacomo dénicha un couple dont le profil recelait de très belles photos. Photographe amateur lui aussi, Fred réalisait de magnifiques clichés de sa douce et belle Manuella.

 

Comme la plupart du temps, dans les couples, ce sont les hommes qui sont au clavier sur les réseaux sociaux libertins. Les garçons firent donc connaissance virtuellement. Ils échangèrent à propos du libertinage, et également à propos de leur passion commune : la photo. Après un très bon feeling virtuel, ils convinrent rapidement d’un rendez-vous pour un shooting photo « entre filles », persuadés que notre duo ferait des merveilles sur la pellicule.

 

Ils arrivèrent un samedi en début d’après-midi. Manuella était encore plus belle en chair et en os, j’étais sous le charme. Etant donné son grand sourire jusqu’aux oreilles, je pense ne pas me tromper si j’affirme que la réciproque était vraie.

 

Blonde châtain aux yeux verts, 1m75, elle était pétillante et solaire. Fred quant à lui était un peu plus petit qu’elle, crane râsé, des yeux qui laissaient transparaître une douceur et une gentillesse infinie.

 

Nous prîmes place dans notre salon autour d’un petit café. Manuella ne me quittait pas des yeux, ni de son sourire plein de promesses. Malgré son apparence très féminine, elle s’exprimait de manière très directe, un peu masculine, ce qui n’était pas pour me déplaire, étant moi aussi très cash. Ses anecdoctes nous apprenaient qu’elle n’en avait que faire des conventions, ce qui me plut également.

 

La nuit tombant désormais très tôt, les garçons proposèrent de démarrer le shooting rapidement pour profiter un maximum de la lumière naturelle. Il était convenu de le faire dans notre chambre.

 

J’emmenais Manuella dans une autre chambre pour nous préparer. Elle me montra les tenues qu’elle avait apportées, et après les avoir examinées, je lui indiquai celles pour lesquelles j’avais des tenues similaires, histoire d’avoir un rendu homogène à l’image.

 

Nous optons pour un shorty et des bas en dentelle noire, des escarpins assortis. Rien en haut : nous restons topless. Nous mettons de l’ordre dans nos cheveux, un peu plus de noir sur nos yeux. Nous nous détaillons l’une l’autre pour vérifier que tout est parfait : nous sommes prêtes.

 

Nous rejoignons les garçons qui ont préparé la chambre. A notre arrivée, leurs yeux s’écarquillent et ils en ont le souffle coupé. Nos tenues font leur petit effet. Manuella et moi nous sourions et nous jetons un clin d’œil plein de complicité.

 

Après un petit moment de flottement où nous comprenons que les garçons ont besoin de « redescendre » sur Terre, nous nous installons de part et d’autre du lit suivant leurs directives. Nous nous appuyons sur la tête de lit, et nous cambrons pour les premiers clichés. Ils shootent en même temps, et ça n’est pas toujours évident de regarder celui qui va déclencher l’appareil.

 

Un peu intimidée au départ, c’est la première fois que je pose pour quelqu’un d’autre que Giacomo. Je me sens un peu gauche, timide et réservée face à Manuella qui me paraît d’un naturel déconcertant. Fred le perçoit, je sens qu’il m’observe et qu’il souhaite me faire sortir de ma réserve. Il tente quelques blagues pour me détendre.

 

Manuella et moi nous rapprochons progressivement sur le lit, symétriquement, au rythme des clic clac (Kodak). Nous nous faisons face, nos corps sont plus proches que jamais, et souriant l’une à l’autre, nous nous dévorons des yeux.

 

Manuella demande la permission aux photographes de m’embrasser. Fred lui répond un : « T’es sûr ? », chargé de sous-entendus, laissant deviner une suite incontrôlable pleine de promesses.

 

Nos visages et nos lèvres se rapprochent, nous nous embrassons et nous nous embrasons. Ses lèvres sont d’une douceur infinie, ses mains sur ma nuque d’une délicatesse… Nos langues se cherchent, timidement d’abord, se trouvent, s’apprivoisent puis s’enroulent dans une danse intérieure lascive dont nous seules partageons le secret.

 

Elle gémit doucement, signe de son abandon et du plaisir qu’elle semble prendre. J’aime l’entendre, ses soupirs sont une invitation alors je la caresse. Mes mains glissent de sa nuque à ses épaules, effleurent ses seins. Mes paumes enveloppent ses beaux seins, doux et plus rebondis que les miens. Mes doigts agacent ses tétons érigés et mes lèvres quittent bientôt les siennes pour venir lécher et mordiller ses mamelons. Je les tète, les suçotte, elle gémit de plus belle, elle aime.

 

Je glisse ma main dans son beau shorty en dentelle, et la dirige vers sa fente que je sens imberbe, chaude et humide. Mon majeur se faufile entre ses lèvres charnues et pleines de désirs, et pénètre dans son antre liquéfié. Je le retire, poisseux, témoin de son émoi. Je l’introduis à nouveau, toujours encouragée par ses soupirs, et commence à la branler doucement, puis de plus en plus rapidement.

 

Très vite, le frottement de la dentelle me gêne, et je fais glisser le tissu le long de ses jambes. Ses bas prennent part à la procession.

 

Elle en profite pour me relever et pour reprendre possession de mes lèvres, plus assoiffée que jamais. Elle m’embrasse fougueusement pendant que ses mains pressent fermement mon dos et mes fesses pour coller son corps contre le mien. Nos poitrines s’écrasent l’une contre l’autre, nos ventres se touchent, nos sens s’enflamment.

 

Elle cesse de m’embrasser, plante son regard dans le mien, toujours son grand sourire aux lèvres et me dit :

 

« Est-ce que tu veux bien me laisser faire ?

- Oui bien sûr.

- Euh… Tu es sûre ? »

 

C’est Fred qui vient de répondre. Il laisse décidément présager une suite incontrôlable mais je suis tellement curieuse et échauffée que je ne peux résister.

Elle m’allonge sur le lit, et m’embrasse à nouveau. J’adore le contact de ses lèvres si douces. Elles descendent petit à petit dans mon cou, ma poitrine. Cette fois-ci, c’est elle qui agace mes tétons et moi qui gémis. Elle poursuit sa descente et me débarrasse de mon shorty. Sa main écarte fermement mes cuisses. Sa bouche se pose doucement sur mon Mont de Vénus, elle embrasse légèrement mon sexe. Ses baisers glissent peu à peu sur mes lèvres, déjà bien humides. Elle me mange avec gourmandise, me pénétrant d’un doigt puis deux. Mon bassin ondule sous ce traitement. J’ai envie de plus, et elle aussi.

 

Elle se redresse et ouvre mes cuisses. Elle relève une de mes jambes qu’elle pose sur son épaule, et vient placer son intimité contre la mienne. Elle frotte son minou contre le mien, tout en gémissant et sans me quitter des yeux. Je sens son sexe détrempé patiner contre le mien. Je lèche mon pouce et viens le placer sur son clito, que je fais rouler sous mon doigt. Il est bien dur sous son capuchon. Son souffle s’accélère, ses coups de reins aussi. Elle jouit dans un cri libérateur.

 

La pression retombe. Nous recouvrons nos esprits petit à petit. Fred n’a pas perdu une miette de nos ébats et a pu tout immortaliser alors que Giacomo nous avoue qu’hypnotisé par notre joute physique, il a momentanément délaissé son boîtier, ses neurones ayant pris l’ascenseur pour des étages inférieurs.

 

La suite au prochain épisode…

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