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Une seconde chance

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L’épisode avec Jude Law (pas le vrai hein, c’est un surnom, cf billet Ma rencontre avec Jude Law) m’avait quelque peu déçue. Quelques temps plus tard, il nous recontactait pour un nouveau rendez-vous.

 

Bien que toujours très flattée d’être courtisée par un beau jeune homme comme lui, je m’interrogeais. Avais-je vraiment envie de le revoir ? La midinette qui sommeillait en moi ne se posait pas tant de questions, elle le voulait sans aucun doute. Mais la rationnelle que je suis n’était pas si sûre d’elle.

 

Je partageais mes doutes avec Giacomo, il comprenait mon point de vue, mais, indulgent pour son homologue masculin, il me proposa de lui laisser une seconde chance. Après tout, il était peut-être simplement très excité et n’a pas su contrôler son désir… Dubitative, je décidai de retenter un rendez-vous mais je laissais néanmoins Giacomo s’occuper de tout. Au moins quand on s’attend à rien, on ne peut pas être déçue !

 

Mon mari échangea donc seul avec Jude, essentiellement par sms, que je n’aurais le droit de lire qu’après la soirée.

 

Mon côté midinette était ravi de revoir ce beau jeune homme, il y avait quelque chose de léger dans l’idée de le revoir. Peut-être toujours un vestige des années collèges non vécues pleinement.

 

Bref, le jour J, Giacomo me pria d’arrêter de travailler plus tôt que d’habitude pour que je me puisse me préparer sereinement. Selon lui, il me fallait un « sas » de décompression entre le travail et la bagatelle. Il me fit couler un bon bain bien chaud, moussant comme j’aime.

 

Ensuite, je m’apprêtais comme pour un premier rendez-vous : épilation, maquillage. C'est drôle comme j'ai appris à aimer me maquiller, moi qui ne me maquillais que pour les grandes occasions, et qui voyais cela comme une contrainte de temps. J'ai toujours pensé que le maquillage n'était fait que pour camoufler les choses, mais depuis que je reçois des compliments, surtout venant de femmes, mon ego est flatté et j'ai de nouveau envie d'entendre ces compliments. Un peu comme si j'avais décidé d'accepter et d'assumer ma féminité.

 

Je choisis ma tenue avec soin : nue sous une petite robe transparente à bandeaux opaques et juste mon trench par-dessus.

« Waoo », me dit mon mari, et je me sentis pousser des ailes. Son regard était empli de désir et de fierté.

Pour ce rendez-vous, nous avions prévu de le rencontrer à l’hôtel. Les derniers sms nous guident vers sa chambre.

 

J'avoue que pendant un instant, je me suis sentie « escort girl » quand nous sommes arrivés sur le parking de l'hôtel. Le fait d'être quasi nue sous mon trench ne laissait aucun doute sur ce qui allait se dérouler. Si je croisais des gens, ils allaient certainement penser la même chose... Et bien tant pis, je me résolus à assumer ce que j'allais faire, et que les gens pouvaient bien penser ce qu'ils voudraient. En fait, ils aimeraient bien être à la place de mon beau jouet.

 

Il nous ouvre, en souriant chaleureusement. Qu'est-ce qu'il est beau ! Je me sens comme une adolescente devant le playboy de la récré, sauf que je savais que cette fois-ci, c'était moi qui allais me le faire et pas les autres. Peut-être un petit goût de revanche ? Peut-être bien.

 

Nous nous mettons à notre aise : je respire un grand coup avant d'enlever mon trench car je sais la réaction que cette petite robe transparente provoque. Et ça ne manque pas : il est très agréablement surpris, et me caresse doucement le dos pour me montrer qu'il aime ma tenue...

Giacomo nous sert du champagne, et je me sens vite grisée par l'alcool. Je me détends un peu plus, et au détour d'une discussion sur notre rentrée de septembre, je pousse un grand soupir malgré moi. Ca jette un petit froid, mais le beau Jude essaie de mettre une pointe d'humour en se rapprochant de moi et en mimant un journaliste venant recueillir une interview. Je crois qu'il ne s'attendait pas à ce que les choses s'enchaînent aussi vite à ce moment-là... ou alors je suis bien naïve.

 

En se rapprochant et en mimant un micro, il me touche le bras... et tout s'embrase. Il m'embrasse langoureusement en me caressant délicatement les épaules, les bras, le ventre...

 

De mon côté, je me laisse aller à ce plaisir qui s'offre à moi : je réponds à son baiser, et caresse également tout son corps. Il gémit lorsque mes mains se rapprochent de sa ceinture, comme s'il n'attendait que ça. Je remonte son pull et il comprend qu'il doit l'enlever. Il retire également le bas, et se retrouve nu, sexe tendu vers mon corps.

 

Je me relève et viens tout contre lui. Il me dit : « Tu es magnifique », m'embrasse, me caresse les fesses en remontant ma robe. Il me rassoit sur le lit et son sexe me fait face. Je ne veux pas le prendre en bouche tout de suite. Alors je le caresse avec ma main, fais des mouvements de va-et-vient et je sens son sexe se durcir un peu plus.

 

Ses gémissements m'encouragent, et il m'écarte les cuisses pour découvrir ma féminité profonde... et déjà bien humide, ce qui fait encore monter d'un cran son excitation. Il m'ordonne de me mettre à quatre pattes pour admirer ma cambrure et ma croupe, je m'exécute. Un miroir fait face au lit, et il y regarde mon intimité, très excité. « Quel beau petit cul ». Il caresse mon abricot, et ne résiste plus à l'envie d'y fourrer sa langue.

 

C'est la première fois qu'il me lèche, et je crois que j’en avais très envie. Il me lèche avec ferveur, en me répétant : « elle est bonne ta chatte ». Sa langue et ses mots m'excitent de plus en plus, je sens même mon petit bourgeon durcir...

 

Je n'ai envie que d'une chose, c'est qu'il me prenne là, tout de suite, mais j'ai aussi envie de faire durer ce délicieux moment. Alors je l'encourage pendant un petit moment : « c'est bon ce que tu me fais », « encore, encore », « tu m'excites... » tout en gémissant. Parfois je pense aux voisins des chambres contiguës qu'on entendait parler à notre arrivée, et me dis qu'ils ne doivent pas en rater une miette... Et puis zut ! C'est trop tard, la machine est lancée, et j'ai envie d'en profiter.

 

Trop excitée, je finis par lui dire : « baise-moi ». Il adore ce genre de phrases car il me demande de la répéter, plus fort. Je m'exécute et en rajoute une couche « je veux ta bite au fond de ma chatte », « viens me la mettre ».

 

Il n'y tient plus et attrape une capote. Il est fin excité et me pénètre en levrette d'une seule poussée. Son sexe est fin, et long, et je le sens s'enfouir au plus profond de moi. Peut-être même un peu trop, ça me fait un peu mal alors j'avance pour échapper à ses coups, mais il me rattrape fermement par les hanches. Ca a le don de m'exciter, j'essaie de me détendre mais rien à faire, il est trop long, alors je finis par m'allonger complètement sur le ventre.

 

Il me tire vers lui et me retourne sur le dos. Je vois dans ses yeux qu'il est très excité. Il m'ouvre les cuisses et me pénètre, il me tient les jambes, il donne des coups rapides et profonds, il alterne les positions de mes jambes, il est trop excité. Je soutiens son regard, je gémis, je suis excitée, je lui parle... Mes mots auront raison de son excitation « si tu me continues à me parler comme ça, je vais gicler ». Le temps de le dire, il avait effectivement joui...

 

Il a eu chaud et file sous la douche. Mon ego est très flatté par ce qui vient de se passer, je n'en reviens toujours pas de faire autant d'effet aux hommes. Mais je suis un peu sur ma faim, tout est allé si vite ! La séance aura duré encore moins longtemps que la première fois ! Mais bon, c'était bien meilleur cette fois-ci.

 

Alors je dis à Giacomo : « deuxième mi-temps ? ». Il me répond : « si tu arrives à l'exciter de nouveau, oui si tu veux ».

 

Il revient, nous rebuvons un peu de champagne. A un moment donné, il se penche vers moi et m'embrasse. Je pense que je me méprends sur ses intentions, et m'enflamme à nouveau très vite. Il n'a plus d'autre choix que de me suivre, même s'il n'a pas eu le temps de « recharger ».

 

Je me cambre pour lui présenter ma croupe, et l'invite à y revenir. Il se masturbe pour se faire durcir, et attrape une autre capote. Il me pénètre, c'est si bon... Malgré le fait qu'il vienne de jouir, il assure un bon moment en me mettant de bons coups de reins. Je prends beaucoup de plaisir, mais il finit par faiblir, et se retire.

 

Il s'asseoit sur l'autre lit, l'air de quelqu'un qui jette l'éponge malgré lui. Je le regarde, je ne veux pas que ça s'arrête là. Je réfléchis vite, c'est à moi de décider de la suite.

 

Je retire ma robe, et viens contre lui. Il me caresse les cuisses, et les entre-ouvre doucement. Il caresse mon intimité très humide, et y glisse un doigt. Je vais défaillir... Il me caresse les petites lèvres, la fente, me doigte, je me cambre de plaisir et serre les jambes par réflexe. Il me les maintient écartées fermement, et petit à petit, vient enrouler ses bras et ses jambes autour des miens pour m’« entraver » me dit-il. Ca m'excite, et il me caresse de plus en plus assidûment... Jusqu'à un point trop sensible où je finis par dire « stop, stop, c'est trop sensible ». Il calme doucement ses caresses, et me libère doucement de son corps.

 

« Tu as dit stop alors j'ai arrêté ». Je ne sais jamais aller jusqu'à la jouissance avec un autre partenaire, même si je n'en suis peut-être pas loin. Je suis trop habituée à jouir d'une certaine façon et il m'a emmenée vers une terre inconnue du plaisir. J'aurais peut-être dû le laisser continuer, mais mon bourgeon était devenu trop sensible, c'en était irritant. On verra les prochaines fois.

 

Cette fois-ci, c'est moi qui file sous la douche. Giacomo m'apprendra plus tard que Jude lui aura dit : « elle est magnifique » pendant mon absence. Ce qui ne fera que regonfler encore mon ego ! Nous nous quittâmes en nous embrassant. J'avoue que j'ai apprécié ces petits baisers comme une vraie midinette. Ben quoi ? Mon mari étant là, je ne faisais rien de mal non ?

 

Je repartais avec le sourire, le cœur léger. Je ne regrette pas de lui avoir laissé une seconde chance. Cette fois-ci, j'avais décidé de m'exprimer, et de ne pas être spectatrice du plaisir de l'autre, et bien m'en a pris.

 

De retour à la maison, Giacomo me fit lire le fil de discussion par sms. Je compris qu'il avait tout orchestré, qu'il avait tiré les ficelles pour que mon beau jouet se comporte comme je le désirais. Dans les messages de Jude, je devinais une excitation prononcée que Giacomo avait atténuée et canalisée pour que je ne sois pas déçue. Je reconnus là une immense preuve d'amour de sa part. Je me rappelais une nouvelle fois la chance d'avoir un tel mari.

 

Nous étions fin excités et fîmes l'amour deux fois dans la nuit... Car il fallait bien terminer le travail commencé plus tôt ! Giacomo a même joui deux fois, comme quoi, ces aventures renouvellent notre excitation sexuelle.

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