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Une nuit qui n’en finit pas (2ème partie)

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Je chevauchais Giacomo en amazone lorsque je sentis une main se poser dans mon dos. Leo me poussa doucement mais fermement, m’invitant à m’incliner tout contre mon homme. Ainsi cambrée, mes fesses étaient une incitation à la luxure…

 

Il déposa un peu de salive sur son pouce, et massa mon œillet pour l’assouplir. Il appuya légèrement pour jauger l’entrée, et même si je « poussai » pour faciliter le passage, son doigt entra sans difficulté. Il remit un peu de salive sur ma rondelle, et glissa cette fois-ci deux doigts, toujours très doucement. Dans mon état d’excitation, je ne sus que bien plus tard qu’il avait introduit plus d’un doigt…

 

Il remua d’abord très lentement à l’intérieur, toujours pour assouplir mon conduit. Puis il appliqua de très doux va-et-vient. La première fois qu’il retira ses doigts, une très légère douleur se fit sentir mais elle fut vite remplacée par une vague de plaisir lorsqu’il revint m’investir. A mesure qu’il allait et venait, cette douleur disparut complètement et je repris le rythme de ma chevauchée fantastique.

 

Puis Leo grimpa sur le lit. Il déchira un nouvel emballage de préservatif, et se couvrit d’une nouvelle capote. Il demanda à Giacomo de resserrer ses jambes, et me cambra à nouveau contre lui. Mes fesses ainsi offertes, il vint se placer derrière moi. Il posa son gland qu’il avait pris soin de lubrifier, contre mon anus. Il poussa très doucement, s’immiscant millimètre par millimètre. Je le sentais m’envahir petit à petit, mon sexe était plus gonflé que jamais. Savoir et sentir leurs deux queues si dures en moi enflammait tous mes sens.

 

Il finit par buter au fond de mon petit, ses couilles cognant contre mes fesses. Il marqua une pause pour que je puisse me sentir en confiance et me détendre, puis se recula très lentement. Il revint dans mes entrailles, un peu plus fermement cette fois-ci. Surprise, je ressentis à nouveau une légère douleur, mais l’excitation provoquée par ses va-et-vient prit rapidement le dessus.

 

Giacomo reprit également son rythme tout en me tenant par les hanches. Mes deux hommes alternaient leurs pénétrations. J’aimais ces sensations, mais j’en voulais plus. Je leur demandais explicitement qu’ils se synchronisent et qu’ils me pénètrent en même temps. Ils ne se firent pas prier, et trouvèrent rapidement le bon tempo. C’était si bon que je leur hurlais des mots crus…

 

« Baisez-moi… Oui… Plus fort… Défoncez-moi… »

Je me redressai pour allonger la profondeur de leurs pénétrations. Je sentis leurs verges gonfler encore en moi, signe qu’ils appréciaient cette nouvelle posture. Leo prit mes mains, et les tint croisées dans mon dos. De son autre main, il m’aggripa l’épaule. J’étais totalement soumise à leurs coups de reins, et j’aimais ça. J’en réclamais plus même…

 

Je sentais mon clito extrêmement gonflé, chaque secousse m’emportant plus haut dans mon excitation, me faisant hurler de plus en plus fort…

 

Mais je crois que cet état extrême d’exaltation eut raison d’eux trop rapidement à mon goût. Je sentis leurs sexes se tendre en moi, et ils giclèrent à quelques secondes d’intervalle, l’un dans ma chatte, l’autre dans mon anus, dans un concert de râles salvateurs.

 

Les choses se calmèrent, ils se retirèrent chacun leur tour. Leo retira sa capote, et alla la jeter dans la salle de bains. Je sentais que cette montée d’endorphines allait contrarier mes plans si je ne me manifestais pas rapidement ! Alors je dis simplement : « Et moi ? »

 

Giacomo fit un clin d’œil complice à Leo et me dit : « On va s’occuper de toi maintenant. »

 

Il m’allongea sur le dos et m’écarta les cuisses. Il vint faire des petits bisous tout autour de mes lèvres. Pendant ce temps, Leo regrimpa dans le lit, et s’installa contre moi, sa peau douce et chaude contre la mienne. Ses mains effleuraient mon corps : mes bras, mes seins, mon ventre… Son visage se rapprocha doucement du mien et il m’embrassa langoureusement. Je fermais les yeux et n’écoutais plus que mes autres sens.

 

Plus au sud, Giacomo embrassait également mes autres lèvres avec volupté. Mon bassin ondulait sous les assauts de sa langue. Une douce chaleur s’emparait à nouveau de mon bas-ventre et se diffusait dans tout mon corps. Il glissa un doigt dans ma fente tout en continuant à me lécher. J’étais détrempée par tant de plaisir.

 

Il attrapa « Bibi », le petit surnom que j’ai donné à mon sex-toy incontournable depuis quelques temps, un Womanizer. Il posa la tête en silicone autour de mon clitoris, et mis le jouet en route. Les premières vibrations me firent frissonner et je sentis mon bourgeon durcir davantage. Il enfonça à nouveau un doigt en moi, tout en maintenant le vibromasseur, et guettant mes réactions. Le plaisir montait doucement mais sûrement. Il augmenta la vitesse d’un cran, et appliqua une pression un peu plus soutenue sur mon clito. Mon souffle se fit plus court, mon cœur s’accéléra, tout mon corps se contracta, et une vague de plaisir intense déferla en moi, libérant une puissante dose d’endorphines. Je criais ma jouissance sans retenue, l’orgasme me submergeant totalement. J’essayais de le faire durer le plus longtemps possible. Mais rapidement, mes contractions vaginales s’affaiblissèrent et s’espacèrent, et mon bouton devint trop sensible. Je dus me résoudre à repousser Bibi.

 

Terrassée par la jouissance, il me fallut un bon petit moment pour reprendre mes esprits. Délicats, les garçons attendirent que je revienne à moi. Lorsque j’ouvris les yeux, je vis deux grands sourires bienveillants.

 

« On peut aller dormir, Mademoiselle l’insatiable ?

- Je pense que si c’était vous qui n’aviez pas joui, vous ne m’auriez pas laissée dormir non plus.

- C’est même sûr… »

 

Oui j’ai un petit côté teigne. Mais c’est aussi ce qui fait mon charme.

 

Leo regagna son lit, et on l’entendit rapidement sombrer dans les bras de Morphée.

Quant à moi, je me lovais dans les bras de mon homme, repue de cette folle soirée…

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