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Un dimanche après-midi comme je les aime

#libertinage #sodomie #sexparty

Fin mars, nous recevions notre ami de longue date, Leo, pour un week-end. Pour rappel, il est coach sportif. Il utilise un iPod pour diffuser de la musique pendant ses cours. Manque de chance, son fidèle baladeur l’avait lâché quelques jours auparavant et il n’arrivait pas à synchroniser toutes ses musiques sur le nouvel iPod qu’il s’était procuré. Giacomo lui avait donc proposé de venir passer le week-end pour régler son problème.

 

Il était arrivé le samedi soir après son dernier coaching. Cette visite étant un peu improvisée, j’avais laissé les garçons en tête à tête pour la soirée. En effet, j’avais une soirée danse prévue de longue date avec l’école dans laquelle je prends des cours cette année.

 

Je m’excusais donc de mon absence, et en adorable ami qu’il est, Leo m’enjoignit à profiter de ma soirée. Lui-même étant un danseur de salsa, il comprenait parfaitement mon envie d’aller me déhancher sur une piste. Il en avait même fait une la veille et se proposa de m’accompagner à la prochaine soirée.

 

Malgré mon envie de le retrouver rapidement, je rentrais tard. En effet, la soirée commençant par des cours d’initiation, elle ne démarra réellement que très tard mais je pus néanmoins en profiter pour danser avec de nouveaux partenaires, me permettant ainsi de progresser.

 

De retour, les garçons étaient en train de sombrer dans les bras de Morphée. Je m’excusais encore de mon retard mais ils ne m’en voulèrent pas, ayant profité de leur soirée entre hommes pour se raconter leurs vies. Deux vraies pipelettes, pire que des filles !

 

J’installai confortablement Leo dans notre bureau, dans lequel nous avions aménagé un petit coin « chambre d’amis ». Il m’avoua avec un clin d’œil que s’étant couché très tard la veille, il était trop fatigué pour jouer cette nuit, mais qu’il aurait une surprise pour moi le lendemain, et m’encouragea à bien me reposer cette nuit. Tant de promesses dans cette phrase chargée de sous-entendus !

 

Chacun s’abandonna au sommeil.

 

Le lendemain, je me réveillais « à la cool ». Je suis plutôt (trop) disciplinée habituellement mais avec Leo dans les parages et sa nonchalance toute antillaise, j’avais envie de prendre mon temps et de ne pas me mettre de contrainte.

 

Je préparais donc tranquillement le petit déjeuner pour tous les trois. Pendant que Giacomo prenait sa douche, j’allais chercher des croissants et du bon pain. Je coupais également des fruits frais pour accompagner un petit bol de muesli plein d’énergie. J’adore ce petit moment du matin, je crois même que c’est le repas que je préfère dans la journée.

 

Notre invité dormant toujours à poings fermés, je rangeais sa part dans le frigo. Je nous installais sur la terrasse, pour profiter des premiers rayons du printemps. Savourer son petit déjeuner au son des premiers pépiements et des premières caresses du soleil : le bonheur se niche réellement dans les choses les plus simples.

 

Leo se réveilla tranquillement vers midi, avec le passage à l’heure d’été. Connaissant son allergie pour le soleil, je lui installai le petit déjeuner à l’intérieur, d’autant plus que les rayons zénithaux sont les plus nocifs pour la peau.

 

Je prenais de ses nouvelles, me tenant à jour de ses dernières aventures. Giacomo aime à nous répéter que tous les deux, nous sommes deux gourmandises exotiques et érotiques, objets de nombreux fantasmes.

 

Leo connaît son sex-appeal et en profite pleinement, sans pour autant en abuser. Il ne « baise » pas à chaque occasion, il n’est pas « mort de faim ». Il sait qu’il plaît et que la plupart des filles souhaitent le croquer. Ce qu’il aime le plus, c’est le jeu de séduction, comme beaucoup de libertins d’ailleurs. Car comme dirait Clémenceau : « Le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier. »

 

Après le petit déjeuner, je filais sous la douche. Les garçons en profitèrent pour s’occuper de l’iPod de Leo.

 

Poursuivant mon envie de rester cool ce jour-là, je décidai, en sortant de la douche, de rester nue et les rejoignis ainsi « vêtue » dans le bureau. Ils furent ravis par mon entrée et Leo me dit :

 

« Reste dans cette tenue, c’est très bien. »

 

Il se leva pour fouiller dans son sac et me tendit un petit paquet. Il avait donc vraiment un cadeau surprise, et je fus enchantée de l’attention. Après un petit bisou de remerciement, je déballai son présent. C’était une très jolie tenue en résille de la marque « Obsessive » que j’affectionne particulièrement. Etant donné les formes très voluptueuses du mannequin sur la pochette, je restais dubitative quant au rendu sur mon corps.

 

« Je suis sûre qu’elle t’ira à ravir, me dit-il.

- Tu es vraiment un amour », lui répondis-je, car oui entre nous, son petit surnom c’est « Amour » (employé par l’une de ses conquêtes, nous l’utilisions en l’imitant pour le taquiner mais c’est resté depuis).

 

Après avoir étudié l’envers de l’endroit, j’enfilai la tenue avec son aide. Une fois prête, les garçons sifflèrent d’admiration et me demandèrent de me tourner pour m’examiner sous toutes les coutures. Ils trouvèrent la tenue tellement jolie qu’ils m’invitèrent à aller me voir dans le miroir. Effectivement, le rendu était plutôt pas mal.

 

Giacomo me tendit ma paire d’escarpins à semelles rouges : « Avec ça, ça sera parfait. »

Je les chaussai donc, et une fois ainsi perchée, j’entendis leurs compliments sur ma cambrure et ils me firent également part de leur émotion naissante.

 

Leo fila sous la douche pour être rapidement opérationnel. Giacomo en profita pour aller chercher son appareil photo et prendre quelques clichés.

 

Lascive, je m’installai au milieu de notre grand lit. Adoptant différentes poses, je jouais avec l’objectif de mon homme. Bientôt, il le lâcha pour me rejoindre, s’allongea contre moi, et m’embrassa, laissant ses mains parcourir mon corps.

 

Leo sortit de la salle de bain, et nous rejoignit. Il écarta doucement mes cuisses et y déposa de doux et légers baisers. Prévenante, j’attrapai un oreiller et le calai sous mes hanches. Il me sourit et apprécia l’attention. Je repris le cours de mes baisers avec Giacomo pendant que Leo me léchait avec ferveur et volupté. Ses langoureuses caresses ne me laissaient pas insensibles, je fermais les yeux pour les savourer et basculais petit à petit dans un univers purement sensuel et sensoriel.

 

J’appréciais chaque caresse, chaque baiser, me laissant porter par chaque sensation physique. Je me laissais totalement aller en émettant soupirs et gémissements.

 

Ses doigts accompagnaient désormais sa langue en faisant de délicieux allers-retours entre mes lèvres inférieures. Mon excitation montait crescendo. Avide et expressif, mon bassin ondulait et venait à la rencontre de ses doigts habiles.

 

Giacomo abandonna ma bouche pour m’embrasser dans le cou. Il descendit un peu plus, tira légèrement sur la dentelle et sortit un de mes tétons pour le lécher. Les yeux toujours fermés, je me délectais des soins prodigués par mes deux hommes.

 

Alors que je m’envolais lentement vers le Nirvana, notre invité interrompit le rythme et se releva. Cette pause forcée me contraria légèrement, mais j’en pris vite mon parti et décidai de lui rendre la pareille. Je m’avançai donc tout contre lui, quittant momentanément Giacomo qui saisit son boîtier pour capturer quelques images.

 

Nous nous embrassâmes en nous caressant. Je pris ensuite son téton entre mes lèvres, une des zones que je sais les plus érogènes chez lui, et l’effet ne se fit pas attendre : ce contact le rendit fou. Je le mordillais doucement, et alternais avec de douces tétées. Ses gémissements témoignaient de l’efficacité de mon traitement.

 

Je fis ensuite glisser son slip et pris son sexe dans ma main. Le regardant droit dans les yeux, gourmande, je fis jouer le bout de ma langue sur son gland et son frein. Il sourit. Je m’approchai pour le prendre en bouche et il bascula sa tête en arrière, dans un gémissement de bonheur. Ma langue tournoyait autour de son gland, puis j’engloutissais autant que possible son membre dans ma bouche. Plus je le prenais profondément dans ma gorge, plus je le sentais durcir. J’alternais ces allers-retours avec de petites léchouilles sur son bout, et de grandes lampées le long de sa verge.

 

Pendant ce temps, alors que j’étais cambrée pour m’occuper de notre hôte, Giacomo me lécha la fente. Par moments, il montait d’un étage pour me lécher l’anus et il appuyait doucement son pouce sur ma rondelle pour l’assouplir. Comme j’étais détendue et suffisamment excitée, il glissa sans difficulté dans mon étroit conduit et faisait de lents va-et-vient.

 

Leo me releva alors doucement pour m’embrasser.

 

« Lou… Tu me rends toujours aussi fou… »

 

Giacomo lui tendit une capote que notre invité déroula avec soin sur son sexe. Coquine, je lui demandai quelle position il souhaitait adopter pour commencer. Il me laissa le soin de choisir alors je me retournai et, à quatre pattes, lui présentai ma croupe. Il apprécia la vue.

 

« Quelle cambrure ! J’adore ! »

 

 Il lubrifia son sexe et frotta son gland entre mes lèvres humides. Il s’immisca doucement entre elles, à l’intérieur de mon vagin. Celui-ci l’accueillit étroitement et chaleureusement, ce qui fit le bonheur de notre complice.

 

« Hummmm j’adooore..., me dit-il.

- Tu es toujours le bienvenu comme tu peux le voir…

- Avec plaisir… »

 

Je le sentis buter au fond de mon intimité, ses couilles contre mes fesses. Il laissa échapper un soupir. Moi aussi. J’en voulais encore.

 

Il se retira doucement, pour mieux m’envahir à nouveau, dans toute sa longueur. J’adore les premières pénétrations, lentes et langoureuses, pour moi ce sont les meilleures. Comme la première gorgée de bière fraîche paraît-il.

 

Sentir mon vagin s’ouvrir, se détendre et se remplir. Se sentir femelle, désirée, possédée et en même temps, sentir son pouvoir sur l’autre sexe, savoir qu’il est à notre merci. Que son érection ne dépend que de nous. Un exquis paradoxe entre soumission et domination…

 

Très langoureux au début, ses va-et-vient se firent rapidement plus fermes et appuyés. Ses mains aggripaient mes hanches avec vigueur. Il cognait contre le fond de mon vagin et m’arrachait des gémissements de plus en plus sonores. Je me laissais totalement aller sous ses assauts, ainsi qu’au plaisir qui m’envahissait. Je n’étais plus que sensations physiques, je ne réfléchissais plus, j’en voulais simplement encore et encore.

 

Il revint à un rythme plus calme, m’indiquant involontairement que la moutarde lui montait rapidement au nez. Je suis toujours surprise de l’effet que je peux lui faire malgré nos longues années de complicité sexuelle.

 

Il alternait ainsi un rythme soutenu et sauvage avec des moments d’accalmie afin de faire durer le plaisir.

 

Pendant cette chevauchée fantastique, Giacomo s’était positionné face à moi, et profitait du spectacle en se masturbant. En véritable candauliste qu’il est, il prend un grand plaisir à me voir prendre et donner du plaisir à un autre. Son érection pouvait en témoigner à ce moment-là.

 

Après avoir savouré les délices des premières pénétrations, je m’avançais vers mon homme pour le prendre en bouche. Il gémissait de bonheur sous mes coups de langues. Puis je captai un regard entre mes deux hommes : un signal de départ.

 

Leo ralentit légèrement la cadence. De sa salive, il lubrifia son pouce et l’appuya contre mon anus. Je poussai pour ouvrir le passage mais son doigt s’y faufila sans rencontrer de résistance. Il allait et venait dans mon étroit conduit, pendant que son sexe faisait de même de l’autre côté.

 

Il se retira de mon vagin, lubrifia à nouveau son gland, généreusement, et avec du gel cette fois-ci. Il commença à se frotter contre ma rondelle, puis appuya gentiment. Je poussai une nouvelle fois, toujours pour ouvrir le passage mais cette fois-ci, son sexe, inévitablement plus gros que son doigt, rencontra une légère résistance. Je lui demandai d’y aller doucement. Il fit une courte pause, et se retira lentement. Il revint m’envahir, et je poussai à nouveau. Il dépassa le « barrage », provoquant une légère douleur mais excitante à la fois. Je sentais son sexe glisser et s’engouffrer entièrement en moi. A nouveau, je sentis ses couilles contre mes fesses, mais cette fois-ci, il était dans mon autre conduit… J’étais folle d’excitation, et je crois bien que lui aussi.

 

« Je t’ai tout mis… Tu le sens ?

- Oh que oui… »

 

Il glissa en sens inverse. Je sentais bien les effets bénéfiques du gel. Il revint à nouveau me remplir. Je ne pus m’empêcher de me caresser pendant ses va-et-vient tellement j’étais excitée. Nos gémissements s’entremêlaient. Ses mouvements se faisaient plus vifs, plus appuyés, plus sauvages. Il cognait à chaque fois de plus en plus fort et de plus en plus loin. Puis il ralentit pour reprendre le contrôle.

 

Pendant cette trêve, Giacomo se glissa sous mon corps. Avec Leo toujours fiché dans mon anus, je m’empallais doucement sur mon homme. Petit à petit, ma chatte engloutit le sexe de mon mari. J’étais transpercée de toutes parts, et cela m’excitait terriblement.

 

Leo initia la danse et Giacomo se cala sur son rythme. Je sentais leurs deux sexes aller et venir en moi, j’étais littéralement prise en étau. Instinctivement, je cambrai davantage mes fesses pour qu’ils me remplissent encore plus. A eux deux, ils me possédaient entièrement, l’un me tenant par la taille, l’autre par les hanches. Ne manquait plus qu’un troisième pour que le tableau soit complet.

 

Mon excitation était devenue incontrôlable : je criais, je gémissais, j’en réclamais, encore et encore. Sensuelle, sexuelle, femelle, animale, j’exultais, laissant parfois échapper quelques paroles trop crues. Ces dernières eurent raison de mes amants, qui explosèrent presque simultanément dans un râle de plaisir.

 

Ils reprirent leurs esprits et filèrent successivement sous la douche, me laissant dans ma rêverie, et surtout sur ma faim. Ils s’occupèrent ensuite de moi, et surtout firent appel à mon fidèle assistant « Bibi » (mon Womanizer) qui me délivra enfin de toute la tension sexuelle accumulée en ce dimanche après-midi. Le râle que je laissais échapper impressionna même notre invité…

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