Grâce à mon physique de rêve (humour, je n’en ai pas toujours parlé comme ça, cf. La photothérapie) et surtout mon mari Giacomo qui est un photographe de génie, nous sommes très sollicités sur les différents réseaux sociaux libertins.
Dans la vie « civile », nous sommes loin d’avoir des préjugés et il est rare que nous nous arrêtions aux apparences. Mais face à tant de demandes, nous avons établi quelques règles simples pour pré-filtrer les requêtes de mes prétendants.
Par exemple : pas de bite en photo de profil, je trouve qu’il n’y a rien de plus rédhibitoire. Selon moi, ce premier aperçu en dit long sur la personnalité de celui ou celle qui se cache derrière la fiche, et toujours d’après moi, cela dénote un manque de finesse d’esprit, même si oui, il ne faut pas se mentir, on sait tous pourquoi on est là.
Pas de langage sms non plus. Les « cc », « bjr » ou « bsr » m’insupportent, même chez des non libertins. Je ne peux m’empêcher de transposer ces raccourcis à leurs préliminaires, j’imagine qu’ils doivent être du même acabit.
Nous sommes également très sensibles à la qualité des photos et aux poses adoptées. Parfois, des selfies avec le linge étendu derrière nous font bien rire mais nous n’irons pas plus loin. Idem pour des portraits sans sourire.
Bien sûr, ces règles n’engagent que mon mari et moi. Il y a certainement des pépites qui ne passent pas ce filtre.
C’est bien ce qui a failli arriver à mon dernier coup de cœur. En effet, sa photo de profil montrait une bite dans un cul. Vraiment pas mon genre. Giacomo, qui à l’époque cherchait un modèle homme bien pourvu pour des photos en duo, avait fait une exception. Il avait un peu discuté avec lui, et après avoir vu son album privé m’avait convaincue de lui laisser une chance. D’après lui, il était cool et plutôt mignon même si je restais très dubitative : il n’était pas vraiment mon genre d’homme, d’autant plus que je suis très difficile !
Il me donna son numéro de portable et m’encouragea à discuter avec lui. Réticente au départ, je répondais par le strict minimum, un peu joueuse néanmoins. Curieux de nous rencontrer, il n’était cependant pas pressé. « Pas mort de faim » selon ses propos. Cela tombait bien, étant donné le mal pour caler une date.
Au fil des semaines précédant notre rencontre, il demandait régulièrement de mes nouvelles, et nous nous taquinions gentiment jusqu’à nous chauffer parfois. Jamais pressant, toujours de bonne humeur, cool et drôle, il parvint à me faire sourire plus d’une fois. Je me prenais de plus en plus au jeu, et ça tombait bien, j’adore jouer.
Et puis vint la rencontre. Il débarqua un samedi soir avec un grand sourire, une bouteille pour mon homme dans une main, un bouquet de fleurs dans l’autre. Je fus très agréablement surprise : il était bien plus charmant en vrai, comme quoi, un sourire ça vous sublime une personne.
Il était très grand, blond, barbu comme un hipster, des yeux bleu-vert à tomber, et surtout un sourire joueur et bienveillant. Nous nous dévisagions avec un plaisir non dissimulé. Je crois que le premier feeling fut réciproque et immédiat.
Je portais pour l’occasion ma petite robe noire dos nu, très courte, sans culotte mais avec un porte-jarretelles et j’avais opté pour des bas couture. Des escarpins à semelles rouges complétaient ma tenue.
Nous nous installâmes dans le salon autour d’un apéro dînatoire préparé par mes soins. Je m’assis près de lui sur le canapé, mon homme face à nous dans un fauteuil. L’ambiance était très détendue, ponctuée d’humour. Le feeling se confirmait tout au long de nos discussions. J’étais sous le charme.
Du regard, mon mari me questionna lorsque notre invité se leva pour aller au petit coin. Avec un grand sourire, je lui assurai mon envie d’aller plus loin. Il me murmurait alors de donner le signal de départ.
A son retour, je me rapprochai significativement de lui, en le fixant de mon sourire le plus charmant. Il me répondit pareillement. Je posai ma main sur sa cuisse et commençai à la caresser doucement. Il posa simplement sa main sur la mienne. Son regard me disait qu’il voulait prendre son temps.
Décontenancée par cette réaction qui était une première pour moi, je dus m’adapter à son rythme. Nous continuions à bavarder tous les trois pendant que nos mains effleuraient nos cuisses. Je me décidai néanmoins à passer la vitesse supérieure : je lui souris sans équivoque, approchant mon visage du sien pour l’embrasser. Cette fois-ci, c’est lui qui fut déconcerté, mais il répondit à mon baiser de façon très appropriée.
Il délaissa rapidement mes lèvres pour embrasser mon cou… J’adore, cette zone est particulièrement érogène chez moi, comme chez la plupart des filles j’imagine. Puis il descendit vers mon décolleté et mes seins. Il écarta le tissu de ma robe, lécha mes tétons et les mordilla doucement. Il descendit encore, retroussa ma robe et posa ses mains sur mes cuisses pour les ouvrir. Il découvrit alors que je ne portais pas de culotte… Je crois que cela lui fit de l’effet.
Délicatement, il déposa quelques baisers sur mon mont de Vénus… sur mon clito… sur mes lèvres humides et gonflées de désir. Il commença à me déguster avec gourmandise, me léchant sans retenue. J’en gémissais d’aise. Sa langue tournait autour de mon petit clito érigé, et alternait en grandes lampées avec mes lèvres. J’adorais ces préliminaires qui me faisaient fondre.
Il glissa un doigt, puis deux dans ma chatte ruisselante, et commença à faire quelques allers-retours pendant qu’il continuait à me lécher. J’en perdais la tête et me cambrais davantage pour inviter ses doigts à me fouiller plus profondément.
Il bascula ensuite mon bassin un peu plus en arrière, et posa sa bouche sur mon anus avant de lui prodiguer le même traitement. Il s’en délectait de la même façon. Surprise au début, j’en savourais rapidement les bienfaits et me laissais totalement aller.
Pendant ce temps, mon mari nous avait rejoints sur le canapé. Il m’embrassait et me caressait pendant que notre invité me mangeait. Rapidement, je sentis une bosse dans son pantalon, et commençai à déboucler sa ceinture.
Ils choisirent cet instant pour se déshabiller tous les deux. J’en profitai également pour faire voler ma robe et restai en porte-jarretelles et bas couture.
Nous reprîmes nos positions respectives, moi allongée sur le dos, suçant mon mari sur le côté, léchée et doigtée par notre hôte. Mon bassin ondulait sous ses caresses, venant à la rencontre de ses doigts, pendant que son autre main parcourait mon corps. Le temps s’était tout simplement suspendu lors de ces caresses très sensuelles et sexuelles…
Giacomo me sortit de ma rêverie pour me proposer de m’occuper de notre invité, ce que je fis avec un grand plaisir. Il s’assit à son tour sur le canapé. Cette fois-ci, c’est moi qui me mis à genoux et lui écartais les cuisses. Plantant mon regard dans le sien, coquine, j’approchais mon visage de son sexe pour l’engloutir. Je le sentis gonfler instantanément, et plus encore lorsque je le fis glisser plus profondément. Ma bouche allait et venait sur ce sexe dont la taille dépassait tout ce que j’avais connu. Ma langue jouait avec son gland pendant les va-et-vient, aspirant, léchant par moments.
Pendant ce temps, mon mari qui était excité comme jamais, me lécha l’anus avant d’y glisser un doigt, puis deux. Avant même de comprendre ce qui m’arrivait, je sentis son gland appuyer sur ma rondelle. Par réflexe, je poussai pour ouvrir le passage, et il s’engouffra lentement à l’intérieur jusqu’à la garde…
Je lâchai la bite de notre invité temporairement, le temps de savourer les premiers allers-retours, mais celui-ci revint rapidement prendre possession de ma bouche, visiblement très excité par cette première pénétration anale… Son gland était très dur, et appuyant sa main sur mes cheveux, il essayait d’atteindre le fond de ma gorge, de l’autre, il me caressait la chatte et y glissait ses doigts. Ainsi prise entre ces deux hommes, j’étais folle d’excitation.
Giacomo se retira et proposa à notre convive de « prendre place ». Je grimpai sur le canapé, me cambrai et offris ma croupe. Il enfila une capote « King Size », et vint frotter son gland entre mes lèvres. J’adore cette caresse, elle me fait littéralement fondre de bonheur.