Eh non, je n’ai pas rencontré le vrai Jude Law. Je voulais faire comme beaucoup de titres de presse people : une fois qu’on lit le contenu, le titre en promettait bien plus et on reste sur sa faim, si on n’est carrément pas escroqué !
Mais on pourra quand même retenir ceci : il ne faut pas se fier aux apparences.
Nous avons rencontré Jude sur le site Netechangisme (devenu Wyylde depuis). Ses photos étaient très flatteuses et avantageuses, et la midinette qui sommeillait en moi s’est réveillée d’un coup.
Le feeling semblait réciproque et nous avons eu envie de passer rapidement à la vitesse supérieure. D’abord un échange webcam pour vérifier qu’il n’y avait pas tromperie sur la marchandise.
« Waouh on dirait Jude Law !
- - N’exagérons rien, je ne suis pas aussi beau que lui.
- - Si tout le monde pouvait lui ressembler comme toi, ça ne serait pas mal quand même. »
Même s’il était quelque peu gêné, le surnom est resté.
Alors que j’ai longtemps pensé que je ne plaisais pas aux garçons (cf. billet sur la photothérapie), j’ai été très flattée qu’un beau jeune homme comme lui s’intéresse à moi. Cela regonflait incroyablement mon ego, comme si au fond, le vilain petit canard du collège finissait par sortir avec le plus beau garçon de l’école.
La conversation webcam a rapidement viré au show érotique. Je l’ai chauffé à distance, prenant des poses de plus en plus lascives et explicites pendant qu’il se branlait. Il s’excitait assez vite, et avec le recul, je pense qu’il devait souvent se masturber derrière un écran…
Après qu’il ait joui, nous avons convenu d’un rendez-vous réel cette fois-ci, chez nous.
Il est arrivé un soir de semaine. Il était beau comme un dieu ! Perfecto en cuir, chemise, jean, bref il avait opté pour un style décontracté chic. De mon côté, j’avais choisi une petite robe noire à dos nu, un ensemble en dentelle à lacets avec porte jarretelles, un string, et des bas noirs. De petits escarpins noirs venaient compléter le tout. Nous nous sommes dévorés des yeux en souriant béatement (ou bêtement… ou les deux).
Nous nous sommes installés tous les deux sur le canapé, Giacomo a pris le fauteuil qui nous faisait face.
Je le détaillais du coin de l’oeil pendant que nous discutions autour d’une bouteille de champagne. Il avait un beau visage, des traits fins et réguliers, de beaux yeux bleus, blond châtain, rasé de près, une silhouette mince mais sportive. Bref, j’avais hâte de voir ce qu’il y avait sous le capot (ou la capote !).
Jude me frôlait subrepticement lorsqu’il se servait en amuse-bouches que j’avais préparés. Cela ne me laissait pas indifférente du tout. Parfois en y repensant, je me demande si je ne réagissais finalement pas comme un homme face à une jolie fille : mon cerveau avait totalement perdu le contrôle face à mes sens et mes émotions. Mon corps réclamait plus de frôlements, il avait envie de se frotter contre le sien et plus si affinités !
Je ne sais plus comment, mais nous nous sommes rapprochés sur le canapé. Il s’est penché vers moi, a posé sa main sur ma joue et m’a embrassée. Ses lèvres contre les miennes étaient douces, nos langues se cherchèrent et se rencontrèrent rapidement. Mes mains sondaient ses vêtements, curieuses de découvrir ce qu’ils recelaient. Elles sortirent avidement sa chemise de son jean et rencontrèrent une bien belle bosse, puis déboutonnèrent le haut. Ses mains à lui avaient glissé sous ma robe et la retroussaient, dévoilant mes bas et mon porte-jarretelles.
“J’adore ta lingerie, tu es trop belle.
- Tu n’es pas mal non plus…”
Sa chemise était ouverte, et ses abdos apparents : comme il était bien fait ! Finement musclé ! Je m’agenouillai sur le tapis face à lui, l’embrassai tout en lui débouclant sa ceinture. Je fis glisser son pantalon jusqu’aux genoux et vins à quatre pattes face à son sexe fièrement dressé. Comme j’étais flattée qu’il soit au garde à vous !
Ce jeune homme avait décidément tout pour lui. Même son sexe était bien fait. D’environ 16-17 cm, d’un diamètre de 3-4 cm, il avait la taille idéale pour mon anatomie. Et, last but not least, il avait un sexe bien droit, il était décidément photogénique sous toutes les coutures.
Coquine et joueuse, je le fixais droit dans les yeux, avant d’approcher ma bouche de son sexe. J’avançais lentement pour le torturer un peu, je donnai de petits coups de langue sur le pourtour de son gland avant de le prendre franchement en bouche. Il gémit de plaisir, émettant un râle de satisfaction. Je le suçais avec gourmandise, lisant sur son visage les caresses pour lesquelles il était le plus réceptif. J’alternais les succions profondes et soutenues avec des petites léchouilles sur le long de la verge lorsque je le sentais au bord de l’explosion…
Mon mari Giacomo avait décidé d’être simplement observateur ce soir-là. Il se caressait en contemplant ce tableau vivant.
Jude me rejoignit sur le tapis et vint se placer derrière moi alors que j’étais encore à quatre pattes. Après avoir revêtu une capote, il frotta son gland bien dur entre mes lèvres humides. Je me cambrai davantage pour m’offrir totalement. Il poussa lentement et je sentis son sexe m’envahir progressivement, jusqu’à la garde.
“Tu es très serrée… Hummmm…”
Il me tenait par les hanches, sortit presque complètement, puis revint au plus profond de moi. Il répéta ces allers-retours, lents et amples d’abord, puis de plus en plus rapides. Je me sentais tellement excitée que j’ondulais du bassin, pour sentir sa queue sur toute sa longueur.
A force de frottements sur le tapis, je finis par avoir mal aux genoux (le détail qui tue, comme quoi c’est une histoire vraie) et proposai de changer de position. Le beau Jude me fit basculer sur le canapé, et m’embrassai fougueusement. Sa main glissa rapidement entre mes cuisses qu’il écarta franchement, avant d’enfoncer un doigt dans ma chatte ruisselante de désir.
Il vint se positionner à nouveau entre mes cuisses. Son gland posé sur ma fente, il me regarda droit dans les yeux :
“Dis-moi que tu la veux.
- Oui je la veux.”
Il s’immisça lentement…
“C’est ça que tu veux ?
- Oui… Prends-moi, baise-moi…”
Je savourai sa pénétration. Il ressortit puis me pénètra à nouveau de toute sa longueur. Je le sentis cogner au fond et je contractai mon périnée à chaque butée. Je sentais que ça l’excitait, son gland gonflait et durcissait en moi.
Jude accélèra le rythme, ses joues rosirent, il fit de plus en plus chaud. J’écartai pleinement les cuisses, et j’appuyais sur ses fesses pour qu’il s’enfonce totalement. Nous étions super excités. Les mouvements se firent de plus en plus rapides, de plus en plus violents, nous fûmes emportés dans un tourbillon sexuel des plus torrides. Il se retira tout d’un coup, enlèva sa capote, et gicla à longs jets sur ma poitrine.
“Excuse-moi, j’aurais dû te prévenir.
- Il n’y a pas de mal, merci de ne pas avoir giclé en moi.
- C’était la moindre des choses.”
Nous redescendîmes sur terre. Il m’embrassa tendrement. J’aime aussi ces petits moments après l’effort.
J’avoue être restée un peu sur ma faim, mais il se faisait tard et il devait repartir. Il se rhabilla, nous remercia pour cette soirée et me proposa une revanche. Je ne donnai pas de réponse immédiate.
Un peu déçue par cette rencontre que j’avais fantasmée, voire idéalisée, je pris conscience que les mecs les plus beaux ne sont pas forcément les meilleurs amants. Mais grâce à mon mari, la « revanche » sera bien plus satisfaisante et fera l’objet d’un futur billet.
Giacomo et moi terminons la soirée en amoureux. Plus fougueux que jamais, il me fit l’amour avec une soif renouvellée, et nous jouîmes deux fois dans la nuit…