Nous faisons donc une petite pause. Cela fait un moment que nous avons arrêté les poses de toute façon. Les garçons laissent leur boîtier (c’est pour ça que les photos illustrant ce billet ne correspondent pas tout à fait au déroulé des événements) et nous rejoignent dans le lit, chacun derrière sa belle, Manuella et moi nous faisons face.
Nous discutons de ce premier round pendant que nous donnons libre cours à nos mains sur nos corps. Giacomo est encore surpris de sa propre réaction face à nos ébats. Ca n’est pas la première fois qu’il me voit avec une fille, mais comme à chaque fois, ça le met dans tous ses états, il reste tétanisé par la scène, son pantalon tendu à l’extrême, incapable d’appuyer sur le déclencheur.
Je caresse Manuella : sa peau est soyeuse, un délice. Elle aussi parcourt toutes les parcelles de mon corps et me retourne le compliment. Gentlemen, Fred et Giacomo nous demandent la permission de partir en terre inconnue. C’est ainsi que nos mains se mélangent, les mains de Fred apprivoisent mon corps tandis que celles de Giacomo explorent celui de Manuella.
Elle tend son visage vers le mien, et pose ses lèvres sur les miennes. Mes mains sur sa nuque, je ferme les yeux et savoure ce baiser si doux et si tendre. Nos langues se lient et se délient pendant que les garçons nous couvrent de baisers. Leurs mains se font plus entreprenantes, insistent plus sur nos seins, pincent gentiment nos tétons. D’un commun accord, elles semblent synchronisées, et se glissent entre nos cuisses respectives, découvrant des fentes encore humides du plaisir éprouvé précédemment.
Leurs doigts s’insinuent dans nos intimités, stimulés par nos gémissements. Ils commencent par des va-et-vient dont la vitesse et la pression augmentent crescendo. De notre côté, nos mains ont trouvé et extirpé leurs sexes de leurs habitacles devenus trop étroits. Enroulées sur leurs manches, elles leur impriment de longs mouvements, les décalottant par moments.
Leurs sexes bien durs dans nos mains, nos langues tournoyant toujours ensemble, nos soupirs de plus en plus sonores manifestent notre désir culminant. Toujours parfaitement synchrones, Manuella et moi guidons ces gouvernails vers nos entrailles. Soulevant chacune légèrement une cuisse, nos mains positionnent les glands de nos hommes entre nos lèvres, cambrant bien nos hanches pour les inviter à nous pénétrer.
Je sens la verge de Giacomo s’immiscer lentement en moi. Il me tient par les hanches et me prend en petite cuillère. Il m’embrasse dans la nuque pendant qu’il commence ses va-et-vient. Je sens son sexe gonfler à mesure qu’il me pénètre, et ses mouvements se font de plus en plus appuyés et fermes. Ses mains sur mes hanches m’intiment l’ordre de me cambrer davantage, pour qu’il me visite plus profondément.
Face à nous, Fred et Manuella sont comme un miroir. Lui aussi s’est engouffré en elle et la prend sur le côté. Leurs gémissements m’excitent, surtout ceux de ma belle qui a délaissé mes lèvres un moment, le temps de savourer sa pénétration.